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(lun 12 fev) Je viens d'arriver à

la Thaïlande

(mar 13 fev) Aujourd'hui je suis dans l'île qui s'appelle 'Koh Pi Pi". Elle est vraiment magnifique, beaucoup de monde sur la plage. J’ai connais une fille qui travaille dans un petit restaurant. Elle m’a conseillé de découvrir cette île à moto. WOW pourquoi pas? Demain je vais faire la moto pour découvrir cette île.

(jeu 15 fev) Hier, j'ai eu un accident de moto. C'était très dur de faire la moto là. II y avait des chiens et des chats le long de la route, hier, j'ai vu un serpent a traversé la route. C'était effrayant. Mon accident était causé par pleine de sable dans la route. J'ai rien fait aujourd’hui sauf rester au lit toute la journée car j’ai mal à bras.

(ven 16 fev) Aujourd’hui  ça va mieux. J’ai refait la moto mais plus lentement et prudemment.  J’étais sur la même plage que celle que j'ai regardée avec mes amis avant de partir. J’ai trouvé que cette plage était dans le film 'The Beach'. C'était cool. Je n'y ai rien fait sauf faire beaucoup de photos. Je vais les montrer à mes amis. Ils seront jaloux.

         (sam 17 fev) C’est le dernier jour en Thaïlande. Demain je vais partir du Bangkok et continuer de retourner en France. La fille avec qui j’ai parlé quelque jour savant, elle m’a dit qu’il y aura une fête ce soir sur la plage devant son restaurant et elle m’a aussi invité……….bien sûr que j’y vais.

          (dim 18 fev) Maintenant, je suis dans l’avion, il me reste quelques minutes avant que l’avion part. Je veux dire que ce pays, le paysage, la plage, l’accident, les gens, la fête me manqueront.

Fait divers

Ils sont assis tous deux par terre. Elle sur un sac de voyage. Lui à même le sol. Ils ne se connaissent pas. Elle lit un magazine.

Lui.-  Aujourd’hui le soleil annonce bonne chance. Qu’est-ce que tu en penses, belle dame?

Elle.-  Excusez-moi, vous me parlez?

Lui.-  Bien sûr! Je suis seul, vous êtes seule quand même. On peut parler un petit peu. Pourquoi pas? Maintenant j'ai le temps pour parler. Qu’est-ce que vous lisez?

Elle.- Je lis un article sur la crise économique dans Playboy, mais je vais aller au sud.

Temps.

Lui.- Où est-ce que vous partez?

Elle.-  Je pars au bord de la mer. J’espère qu’une voiture ou un camion qui va m’emmener.

Temps.

Lui.-  Excuse-moi, mais je vais te tutoyer. Je n’ai pas d’argent pour un billet, et toi?

Elle.-  Pas de problème. Moi, je suis riche mais je préfère l’aventure. J'adore partir sans programmer rien.

Temps.

Lui.-  Il semble que tu sois une personne libre. Je pense que les gens partent pour trouver les réponses, qu’ils ne peuvent trouver dans sa vie quotidienne. Les personnes ne rendent pas compte qu’ils voyagent pour fuir et peut-être trouver la passion de vivre. Mais, toi, Qu’est-ce que tu cherches? l’aventure ou l’amour?

Elle.-  On verra! Je veux seulement vivre la vie. Je préfère ne pas penser beaucoup.

Temps.

Lui.-  Regards-moi, je suis l’aventure de l’amour.

Elle le regarde.

Lui.-  On peut partir sans destination.

Temps.

Lui.-  J’ai une bonne idée pour aller à la mer.

Elle.-  Bien, tu es vraiment audacieux. Que-ce que tu me proposes?

Lui.- J’ai un billet de 100 euro qui est faux. Je vais l’utiliser pour acheter les billets pour Marseille. Que-ce que tu en penses?

Temps.

Elle.-  Oh C'est une idée magnifique! J’adore les hommes qui aiment prendre les risques. Lui.-  Embrasse-moi

Elle.- Bien sûr mon amour!!! Mais, je veux acheter pour les billets.....j'aime bien sentir l’adrénaline. C'est la première fois que j’utilise des faux euros. Attends-moi, je vais acheter les billets.

Lui.-  Bonne chance mon amour.

Elle lui tend un billet. Deux flics surgissent.

Premier flic.- (au garçon)  Excusez-moi, il faut vous fouiller.

Le deuxième flic le fouille.

Lui.-  Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

Deuxième flic.-  Vous êtes nerveux ? Comment vous avez acheté ce billet ? Et Qu’est-ce que c'est?

Premier flic.-                 réplique ?                                 (Il fouille, montrant une boîte)

Lui.-  J'ai acheté les billets sur l’internet. Et la boîte est celle d'un ami qui m'a demandé de  la donner à sa copine à Marseille. Je ne savais pas ce qu'il y avait dedans.

Deuxième flic.-  Ce n’est pas vrai. Vous pensez que je suis stupide? Je sais que vous l'avez acheté avec un faux billet de 100 euro. En ce qui concerne à la boite, vous avez beaucoup pour expliquer!!!!Vous êtes dans  une grande galère.

Premier flic.- (à la fille)  Vous êtes ensemble ?

Elle.- ha ha ha

Premier flic.-  Vous me prenez pour un clown ?

Deuxième flic.- Allez, au commissariat, Vous êtes des délinquants !!!

Elle.-  Excusez-moi, je peux appeler mon avocat ?

Deuxième flic.- Allez.

Les deux flics emmènent les deux jeunes gens.

Cher Pierre

Salut !

J’espère que tu vas bien. Ça fait un an que je suis au Japon pour apprendre le japonais. Je savais déjà que ce pays est un pays mystérieux mais il l’est vraiment !

Nous sommes d’accord que le Japon est un pays avancé dans le domaine technologique, mais je te raconte ici qu’il y a des choses tellement bizarres qu’elles te surprendraient sans aucun doute.

En fait, les japonais sont toujours pressés de quelque chose et ont le visage fatigué. On entend aussi très souvent parler de homicide. Je n’aurais jamais pensé que ce pays était si triste.

Et puis il y a trop de monde au Japon. C’est difficile de vivre tranquillement comme en France. Par exemple, les gares et stations débordent de gens. Je me suis cogné à beaucoup de gens en seulement cinq minutes. Mais il n’y avait personne qui s’est excusé, c’est pas possible!!! Les trains sont toujours bondés. Si j’attends un train suivant , ce train est aussi bondé. Tu savais qu’au Japon dans les trains il y des voitures réservées aux femmes. Un jour, comme il y avait une voiture assez vide, j’y suis entré mais toutes les femmes dans la voiture m’ont lancé un regard fulgurant et une femme qui parlait bien l’anglais m’a dit que c’était la voiture réservée aux femmes. C’est le moment où je me suis aperçu qu’il existait une telle voiture. Dès que je suis sorti de cette voiture en hâte, un vieil homme a dit « le monde est devenu plus strict pour les hommes récemment ». Les Japonaises d’aujourd’hui se plaignent souvent d’être victimes de harcèlement sexuel. C’est pourquoi malgré la multitude dans les voitures les hommes s’efforcent de ne pas toucher les femmes.

Si les femmes ont le droit d’accès à toutes les voitures, celui des hommes est limité. Je crois que c’est injuste.

Amicalement

mizuki

Fait divers

Ils sont assis tous deux par terre. Elle sur un sac de voyage. Lui à même le sol. Ils ne se connaissent pas. Elle lit un magazine.

Lui.- bonjour mademoiselle, Est-ce que vous attendez un train ?

Elle.- oui, et vous ?

Temps.

Lui.- oui, moi aussi, vous avez une cigarette, s’il vous plait ?

Elle.- j’en ai seulement 2…

Temps.

Lui.-  est-ce que vous pourriez m’en donner une, cette cigarette est peut-être la dernière dans ma vie 

Elle.- humm, d’accord je vous en donne une.

Temps.

Lui.- c’est très gentil, je vous bien remercie. Et le feu ??

Elle.- je suis désolée mais je n’en ai pas…

Temps.

Lui.- je voudrais du feu chercher quelque part, vous pouvez surveiller mon sac ?

Elle.- oui, bien sûr.

Temps.

Lui.- voilà, le feu.

Elle le regarde.

Lui.- pourquoi vous me regardez comme ça, j’ai fait quelque chose de mal où j’ai dit quelque chose qui l’a vous avez touché ?

Temps.

Lui.- dite –moi, qu’est ce qui vous arrive ?

Elle.- je réfléchis simplement, pourquoi d’homme comme vous porte un pistolet dans son sac ?

Lui.- parce que la police voudrait m’arrêter car j’ai pillé une bijouterie et maintenant je suis  en fuite. Il faut que je quitte cette ville le plus vite possible.

Temps.

Elle.- Et pourquoi vous avez pillé la bijouterie et où vous voudriez aller ?

Lui.- je ne sais pas, peut-être que c’était parce que j’étais pauvret toute ma vie.

Elle.- vous avez déjà acheté le billet ?

Lui.- non, j’ai peur de l’arrestation et en plus je n’ai aucun d’argent, je n’ai que les bijoux que j’ai volés.

Elle lui tend un billet. Deux flics surgissent.

Premier flic.- (au garçon) bonjour monsieur, est-ce que vous pouvez nous montrer votre carte d'identité, s’il vous plait et votre billet aussi ?

Le deuxième flic le fouille.

Lui.- je n’ai rien fait, vous n’avez pas le droit de faire ça !

Deuxième flic.- tu n’as ni carte d’identité ni billet, dis où tu as caché les bijoux ?

Premier flic.- regarde ce que j’ai trouvé dans ton sac.        (il fouille, montrant une boîte)

Lui.- je n’ai jamais vu cette boîte, ce n’est pas mon sac.

Deuxième flic. Tout ça tu nous expliqueras au commissariat.

Premier flic.- (à la fille) et vous êtes sa complice ? Carte d’identité et billet, s’il vous plait.

Elle.- voilà.

Premier flic.- depuis quand vous connaissez cet homme ?

Deuxième flic.- et pourquoi on vous a trouvé ensemble ?

Elle.- je ne le connais que les dix minutes, il ne voulait qu’une cigarette

Deuxième flic.- on vous emmène au commissariat pour que vous nous précisiez quelques informations.

Les deux flics emmènent les deux jeunes gens.

Radek et Sara

Lui.- bonjour mademoiselle, Est-ce que vous attendez un train ?

Elle.- oui, et vous ?

Temps.

Lui.- oui, moi aussi, vous avez une cigarette, s’il vous plait ?

Elle.- j’en ai seulement 2…

Temps.

Lui.-  est-ce que vous pourriez m’en donner une, cette cigarette est peut-être la dernière dans ma vie 

Elle.- hmmm, d’accord  je vous en donne une.

Temps.

Lui.- c’est très gentil, je vous bien remercie. Et le feu ??

Elle.- je suis désolé mais je n’en ai pas…

Temps.

Lui.- je voudrais en chercher quelque part, vous pouvez surveiller mon sac

Elle.- oui, bien sûr.

Temps.

Lui.- voila, le feu.

Elle le regarde.

Lui.- pourquoi vous me regardez comme ça, j’ai fait quelque chose de mal où j’ai dit quelque chose qui vous avez bouleversé?

Temps.

Lui.- dites –moi, qu’est ce qui vous arrive ?

Elle.- simplement je réfléchis, pourquoi un homme comme vous porte un pistolet dans son sac ?

Lui.- parce que la police voudrait m’arrêter car j’ai pillé une bijouterie et maintenant je suis  en fuite. Il faut que je quitte cette ville le plus vite possible.

Temps.

Elle.- Et pourquoi vous avez pillé la bijouterie et où vous voudriez aller ?

Lui.- je ne sais pas, peut-être que j’étais pauvre toute ma vie.

Elle.- vous avez déjà acheté le billet ?

Lui.- non, j’ai peur de l’arrestation et en plus je n’ai aucun d’argent je n’ai que les bijoux que j’ai volés.

Elle lui tend un billet. Deux flics surgissent.

Premier flic.- (au garçon) bonjour monsieur, est-ce que vous pouvez nous montrer votre carte d'identité, s’il vous plait et votre bille aussi ?

Le deuxième flic le fouille.

Lui.- je n’ai rien fait, vous n’avez pas de droit de faire ça !

Deuxième flic.- tu n’as ni carte d’identité ni billet, dis où tu as caché les bijoux ?

Premier flic.- regarde ce que j’ai trouvé dans ton sac.        (il fouille, montrant une boîte)

Lui.- je n’ai jamais vu cette boîte, ce n’est pas mon sac.

Deuxième flic.- tout ça, tu nous expliqueras au commissariat.

Premier flic.- (à la fille) et vous êtes sa complice ? Carte d’identité et bille, s’il vous plait. 

Elle.- voilà.

Premier flic.- depuis quand vous connaissez cet homme ?

Deuxième flic.- et pourquoi on vous a trouvé ensemble ?

Elle.- je ne le connais que les dix minutes, il ne voulait qu’une cigarette

Deuxième flic.- on vous emmène au commissariat pour que vous nous précisiez quelques informations.

Les deux flics emmènent les deux jeunes gens.

Ils sont assis tous deux par terre. Elle sur un sac de voyage. Lui à même le sol. Ils ne se connaissent pas. Elle lit un magazine.

Lui.- Aujourd’hui le soleil annonce bonne chance. Qu’est-ce que tu en penses, belle dame?

Elle.- Excusez-moi, vous me parlez?

Lui.- Bien sûr! Je suis seul, vous êtes seule quand même. On peut parler un petit peu. Pourquoi pas? Maintenant j'ai le temps pour parler. Qu’est-ce que vous lisez?

Elle.- Je lis un article sur la crise économique dans Playboy, mais je vais aller au sud.

Temps.

Lui.- Où est-ce que vous partez?

Elle.- Je pars au bord de la mer. J’espére qu’une voiture ou un camion qui va m’emmener.

Temps.

Lui.- Excuse-moi, mais je vais te tutoyer. Je n’ai pas d’argent pour un billet, et toi?.

Elle.- Pas de problème. Moi, je suis riche mais je préfère l’aventure. J'adore partir sans programmer rien.

Temps.

Lui.- Il semble que tu sois une personne libre. Je pense que les gens partent pour trouver de réponses, qu’ils ne peuvent trouver dans sa vie quotidienne. Les personnes ne ses rendez pas compte que ils voyagent pour fuir et peut-être trouver la passion de vivre. Mais, toi, Qu’est-ce que tu cherches l’aventure ou l’amour?

Elle.- On verra! Je veux seulement vivre la vie. Je prefere ne pas penser beacoup.

Temps..

Lui.- Regarde-moi, je suis l’aventure de l’amour.

Elle le regarde.

Lui.- On peut partir sans destination.

Temps..

Lui.- J’ai une bonne idée pour aller à la mer.

Elle.- Bien, tu es vraiment audacieux. Qu'est-ce que tu me proposes?

Lui.- J’ai un billet de 100 euro qui est faux. Je vais l’utiliser pour acheter les billets pour Marseille. Qu'est-ce que tu penses?

Temps..

Elle.- Oh C'est une idée magnifique! j’adore les hommes qui aiment prendre des risques.

Lui.- Embrasse-moi

Elle.- Bien sûr mon amour!!! Mais, je veux acheter pour les billets.....j'aime bien sentir l'adrénaline. C'est la première fois que j'utilise des faux euros. Attends-moi, je vais acheter les billets.

Lui.- Bonne chance mon amour.

Elle lui tend un billet. Deux flics surgissent.

Premier flic.- (au garçon) : Excusez-moi, il faut vous fouiller.

Le deuxième flic le fouille.

Lui.- Pourquoi? Qu’est-ce qu’il y a?

Deuxième flic.- Vous êtes nerveux? Comment vous avez acheté ce billet? Qu'est-ce que c'est ça?

Premier flic.- réplique? (il fouille, montrant une boîte)

Lui.- J'ai acheté les billets sur l’internet. Et la boîte est d'un ami qui m'a demandé de la donner à sa copine à Marseille. Je ne savais pas qu'il y avait dedans.

Deuxième flic.- Ce n’est pas vrai. Vous pensez que je suis stupide? Je sais que vous l'avez acheté avec un faux billet de 100 euro. En ce qui concerne avec la boite, vous avez beaucoup pour expliquer!!!!Vous êtes dans une grande galère.

Premier flic.- (à la fille) Vous êtes ensemble?

Elle.- ha ha ha          

Premier flic.- Vous me prenez pour un clown?

Deuxième flic.- Allez, au commissariat, Vous êtes des délinquants!!

Elle.- Excusez-moi, je peux appeler mon avocat ?

Deuxième flic.- Allez.

Les deux flics emmènent les deux jeunes gens.


 Ils sont assis tous deux par terre. Elle sur un sac de voyage.  Lui à même le sol. Ils ne se connaissent pas. Elle lit un magazine.



Lui.-  Est-ce que vous attendez quelqu'un?



Elle.- Oui, j'a .
ttends un monsieur


Temps.




Lui.- Monsieur Martin?

Elle.- Oui, je l'attends.



 Temps. 



Lui.- C'est moi, Martin.



 Elle.- J'ai apporté tout l'argent que vous demandez.



Temps.



Lui.- Très bien , donnez-le moi.



Elle.- Attendez! Mon fils, comment ça va? Il est où?



Temps.



 Lui.- Ne vous inquiétez pas ! Il va bien et ma copine le garde.



Elle.- Quand vous me le donnerez?



Temps.



Lui.- Bien sûr ! Mais pas maintenant.



Elle le regarde.

 
Lui.- J'ai encore besoin d'un billet de train.



Temps.



 Lui.- Achetez-le tout de suite.



Elle.- Quoi, un billet?



Lui.- Oui, je ne peux pas l'acheter moi-même.



Temps.



 Elle.- Non, vous n'en avez pas parlé au téléphone. 

Lui.- Vite, sinon ,votre fils est en danger!



Elle.- Non, je vais l'acheter tout de suite.



 Lui.- Bien. Après avoir acheté le billet, je vais vous le donner .

Elle lui tend un billet. Deux flics surgissent,



Premier flic.- (au garçon) Est-ce que je peux voir votre identité ? .

Le deuxième flic le fouille.



Lui.-Pourquoi ?



Deuxième flic.-On pense que vous ayez une relation avec un kidnapping.



 Premier flic.- vous connaissez ce garçon. Marc?       (il fouille, montrant une boîte)



 Temps.



 Lui.- Non. Je ne le connais pas ! 



Deuxième flic.- C'est vrai? C'est quoi? (dans cette boîte , il y a des photos du garçon avec elle )



Premier flic.- (à la fille) Est-ce que vous connaissez le garçon?



Elle.- Oui, c'est mon fils.


Premier flic.-On l'a trouvé chez lui .



 Deuxième flic.-Je suis sûre qu'il est le kidnappeur.



Elle.- Oh , mon Dieu !Merci mille fois !



Deuxième flic.- OK .nous  rentrons  au commissariat.



Les deux flics emmènent les deux jeunes gens.

--junhong

  La première fois qu'Aurelien a vu Bérénice, il l'a trouvée franchement laide. C'était dans un bal royal, Bérénice était la fille du banquier. Quand elle était debout en face d'Aurelien et l'a invité à danser, il se faisait suer abondamment, mais il avait un beau sourire extérieurement. Il voulait vraiment s'échapper du bal. Il l'a prise dans ses bras à contrecœur. Elle a observé le mécontentement sur son visage. Elle a dit : "Merci de ne pas me repousser, je ne suis pas jolie comme la baronne. Je vous propose de chanter pour vous." Ils sont sortis sur la terrasse. Elle avait une très jolie voix.

--sara

Après elle a compris qu'Aurelien aimait beaucoup la musique et le chant, donc elle a chanté sentimentalement et après Aurelien se sentait mieux et il a dominé son trouble. L'avenir, c'est maintenant, il a demandé à Bérénice de boire un verre de bière et il lui a dit qu'il n'aimait pas les filles riches et contentes de soi. Bérénice a dit son opinion à propos de lui.

--junhong

  Ils ont bavardé beaucoup. Aurelien a trouvé que Bérénice était vraiment charmante. En outre, elle connaissait de nombreuse choses, l'histoire, la poésie, la musique etc. Après, ils ont vécu dans une villa de campagne. C'était un endroit magnifique, Bérénice aimait le cheval, tous les jours ils faisaient du cheval. La nuit, ils dansaient. Le dimanche, ils rassemblaient des amis ou chassaient dans la forêt. Jusqu'a un jour, Bérénice lui a dit excitée "Aurelien, regarde. J'ai recu une grosse somme de mon père. Il m'a promis de me donner une grosse dot. Avec ça, nous vivrons sans souci dans l'avenir."Aurelien a souri "J'ai attendu ce jour longtemps."Il a sorti un pistolet et tiré une balle dans la tête de Bérénice.

   C'était la première fois que j'allais en Chine pour rencontrer mon beau-père et ma belle-mère. C'était en été, l'ardeur du soleil brillait, nombre de filles portaient des petites robes et j'étais étonné que toutes les filles ouvrent des parapluies solaires en plus des personnes âgées. A Pékin, les routes étaient très larges, et les hauts bâtiments s'élevaient des deux côtés de la rue. C'était une ville tellement moderne . Pourtant la foule et les voitures étaient partout aussi . Quand nous nous promenions dans la rue , tous les gens nous regardaient surtout ma jolie fille. Elle est métisse et a les noir yeux comme ma femme et les cheveux blonds, et la peau blanche comme moi. Après avoir demandé notre permission , les piétons l'ont entourée et ont pris des photos. Ma femme souriait à côté. Nous avons visité Gugong qui est le palais impérial d'un ancien empereur. Il était grandiose et splendide. Ce que ma femme m'a dit est incroyable: l'empereur ancien avait trois mille femmes.

  Le lendemain, nous sommes allés rendre visite à mon beau-père. Je n'étais pas du tout rassuré car ma femme m'avait demandé de l'appeler papa. "je ne peux pas dire bonjour madame, monsieur?" "Non, c'est pas possible!!" Heureusement, ils étaient très gentils et ma belle-mère était habile de ses mains, elle a fait bien la cuisine. J'adore les plats Chinois !

    Mon père était le chef d'une des plus fortes tribus dans l'extrême nord de la Chine. Quand j'avais neuf ans, il m'a emmené choisir ma nouvelle mariée. Il m'a dit "La jolie femme envie la chance de la laide, il faut choisir une femme qui a de grands pieds , elle te portera bonne chance " Mais je n'avais été jamais sage comme une image, j'ai choisi une fille qui s'était mis sur son trente et un, car avant de choisir, elle m'avait dit "il faut me choisir, moi. " Elle était sérieuse comme un pape elle et avait l'air intelligent, je l'ai adorée. Malheureusement, mon père a été tué par son subordonné à le mi-chemin du retour. Après, il m'a traité comme un chien. J'avais toujours l'estomac dans les talons, et travaillais dur avec des instruments de torture. Il voulait me tuer avant que je grandisse. Mais moi et mon père nous ressemblions comme deux gouttes d'eau. Enfin je l'ai tué et j'ai unifié tout la région.